musique: Baden Powell & Vinicius de Morais

Samba Em Preludio





Paraty

15 mars 2007


Nous revoilà à Paraty après une semaine à Paris (pour faire court, 2 soirées théâtre*, 2 expos*, 2 restos et un peu de plomberie*), le choc thermique, l'été austral tient ses promesses, pas de pluie, mais 33° le jour à l'ombre, 27° la nuit, les 2 gros ventilos 24h/24.

Heureusement cette petite marina est super équipée, plage, salle de bains individuelle, et des glaçons pour la caïpirinha. Seul inconvénient il faut prendre un taxi pour aller au village à 6 kms. Mais nous ne résisterons pas à la tranquillité de ce ponton champêtre.

Déjà une semaine et doucement, très doucement, nous reprenons le bateau en main. Le cycle infernal, bricolage sans entrain le matin, sieste puis baignade, promenade à la fraîche. De temps en temps le village, le supermercado, et longues soirées de lecture avec fond musical sur le pont supérieur, notre cockpit. Un évènement, pas de moustique.

Prochaine visite au cybercafé, commencer à regarder la météo. Il va bien falloir partir. Que la vie est douce en bateau !!!

Marina do Engenho, d’Amyr Klink, le Tabarly brésilien

 

L’eau est aussi à 30°

 

Petite maison au-dessus de la plage

 

Engenho, c’est une authentique distillerie de cachaça (rhum)

 

Lyster au ponton avec toutes ses commodités

 

Une rue du village de Paraty (ou Parati --pron. Paratchi)

 

que les Portugais occupèrent au début du XVI°s.

 

Maison avec jardin, qui dit mieux ?

 

Igreja Santa Rita de los Pardos Libertos
l'église des mulâtres affranchis

Vue du parvis de l’église, le port des « lanchas »

On l’a déjà citée dans un message antérieur, mais voici la citation complète d’après Lonely Planete :

Oh ! Deus, se na terra houvesse um paraiso, nao seria muito longe daqui !

(Oh ! Dieu s’il y a un paradis sur terre, il n’est pas loin d’ici !)

Amerigo Vespucci faisait allusion aux montagnes escarpées, couvertes de jungle, se jetant dans la mer, à la côte émaillée de centaines d’îles et de péninsules, et aux eaux claires, tièdes et calmes de la Bahia d’Ilha Grande.

Un ange passe !!!